Ce n'est pas parce que je suis sévère avec les animaux dans l'article " crotte alors ! " que vous allez trouver un peu plus loin, que je suis en contradiction avec mon refus total de voir les animaux dits sauvages en cage. Sans tomber dans les excès du brigitebardotisme, cela m'est totalement incompréhensible et insupportable. D'autant plus qu'aujourd'hui, avec la télé et internet, les jeunes peuvent découvrir la vie et les activités des animaux dans LEUR environnement.
Vous connaissez la métaphore : le lion en cage qui un jour refuse de briser ses barreaux est un lion mort. Mais pour les animaux, c'est une réalité. Un cirque va venir dans le Cher, et pour faire sa pub, le gars précise dans la presse qu'il y a un numéro unique de lions et de tigres ensemble, ce qui est très rare de par leur incompatibilité instinctive. Evidemment rigolo ! dans leur milieu naturel, ils ont chacun leur territoire qu'ils défendent. Alors, tu ne vois pas que tu n'as rien compris ?
mpcréation
Que les parents qui n'ont jamais emmené leurs enfants au zoo me jettent le première cacahuète, mais je ne veux plus voir un ours blanc dans un bassin bétonné à Vincennes. Ils y mettent des glaçons peut-être ? Il serait bien mieux sur sa banquise, même si celle-ci fond de plus en plus.
mpcréation
Vous avez déjà certainement vu les ourangs-outans ou les gorilles se taper la tête contre les barreaux. Explication du gardien : " ils ne se font pas mal, c'est juste le stress, ça arrive ". Ah oui ! et pourquoi sont-ils stressés ? là il n'y a pas de réponse.
Le parc animalier a tenté de trouver une réponse. Mais là encore l'animal a des limites de déplacement ; et puis la banlieue de Paris ou de Royan ne ressemble pas aux savanes d'Afrique. Sans oublier la horde de visiteurs venue faire de gros plans sur la gueule du lion. Qu'ils se mettent plutôt dans la gueule du loup !
Certes les animaux n'ont pas l'intelligence de comprendre " privation de liberté ", juste le ressentir. Alors je l'écris pour eux.
Liberté.