le cancer russe de l'enculé nazi poutinien avance partout
aujourd'hui il n'y a que du texte.
Donc contrairement à d'habitude où vous faites comme les enfants, ne regarder que les images, parce lire, c'est vraiment chiant .........
je vous mets quand même une image suggestive afin de vous mettre de bonne humeur afin de ... lire !
à propos Furia, magazine de 150 pages, qui se présente comme le
" Hara-Kiri de Droite " trimestriel 14,90 €
page 1 : avertissement ( extraits )
L'esprit est le dernier bastion de nos libertés. Lui seul permet de supporter le présent, lui seul peut affranchir les âmes de leur servitude. Même et surtout quand il n'est pas de gauche.
C'est bien pour ça que la bien-pensance veut lui faire la peau.
Non seulement nous n'y renoncerons jamais, mais nous le répandrons partout, comme du sel sur les plaies des tabous les plus vifs, et des renoncements les plus lâches.
Pour nous résumer, chères ligues de censeurs et autres procéduriers fragiles, veuillez aller vous faire mettre.
Laura Magné Laurent Obertone
Mon commentaire
Ce genre d'article peut effectivement ressembler à un esprit potache, voire davantage. Mais c'est au fil des pages que ça se gâte sérieusement. Ce n'est pas de droite, c'est d'extrême-droite, et donc nauséeux, évidemment ! Rien d'étonnant avec Laurent Obertone, bloggeur identitaire, auteur d'un manifeste raciste, le " Manifeste Nauséabond ".
Ah bon ?
à propos un extrait de la plaidoirie de l'avocate générale
au procès du 13-Novembre :
Lorsque le fanatisme a gangrené un cerveau, la maladie est presque incurable. Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à dieu qu'aux hommes, et qui, en conséquence, est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ?
Il est difficile pour notre société sécularisée d'appréhender l'idée d'une foi absolue, par laquelle la croyance devient un moteur de destruction de l'autre. La force de cette idéologie mortifère est telle que rien ne peut l'ébranler.
Nous sommes sans illusions sur ce que représente le temps carcéral, mais c'est la seule réponse sociale acceptable pour protéger la société. En faisant le constat que les détenus radicalisés profitent rarement de leur détention pour s'assouplir.