Eh bien ça commence comme ça .... et puis .....
La Conférence des évêques de France défend que les informations recueillies, par un auteur, une victime ou un témoin, à l’occasion d’une confession ne puissent en aucun cas être rapportées par le confesseur.
“Il n’est pas permis à un prêtre de faire usage de ce qu’il a entendu en confession et donc, il ne peut en aucun cas signaler aux autorités judiciaires un pénitent, que ce soit l’auteur, la victime ou le témoin”
Mgr Eric de Moulins-Beaufort, chef de la Conférence des Evêques de France, souligne que le secret de la confession n'est pas contraire au droit pénal. C'est l'honneur de la République que de respecter ainsi la dignité de la conscience de chacun.
Une phrase qui explique déjà très bien toute l'ambiguïté de l'Eglise sur sur sujet.
Cette notion ouvre un espace de parole libre qui se fait devant Dieu. Le secret de la confession s’impose à nous et il s’imposera... En ça, il est plus fort que les lois de la République.
Une dernière phrase, sans plus aucune ambiguïté ! elle est irrecevable et inadmisible :
il va falloir que les autorités religieuses catholiques apprennent par coeur le Rapport Sauvé : 216 000 enfants et ados victimes de plus de 3 000 religieux cathos !!!!